« Les Quatre Autels » cherche à mettre en avant deux thèmes : le premier, l’attention urgente dont l’Amazonie et la planète en général ont besoin face à la surexploitation des ressources, et le second, la transformation de la conscience grâce aux plantes sacrées. À travers l’histoire d’Ana et de son parcours de connaissance de soi, nous observons la complexité de l’être humain et sa capacité à prendre conscience. Dans la recherche du bonheur, nous nourrissons par inertie un système qui se déforme de plus en plus et nous éloigne de l’essence de l’être humain.
Lors de son voyage au Pérou, Ana découvre de manière inattendue l’univers des plantes sacrées, générant une profonde transformation dans sa vision de la vie et de ses priorités. Très sensibilisée lors de son voyage en Amazonie, elle est témoin du crime écologique qui s’y déroule chaque jour et choisi de faire tout son possible pour le changer.
Le respect de la planète, des plantes et de tous les êtres vivants est le moteur de ce projet, nous savons qu’à travers cette histoire nous pouvons créer de l’empathie pour orienter le regard de la société sur ces problèmes qui sont réels et qui frappent notre monde.
Nous avons confiance dans le pouvoir du cinéma en tant qu’art socialement transformateur, nous ne voulons pas faire un film pour divertir, nous voulons influencer les gens et la société.
Lors de son voyage au Pérou, Ana découvre de manière inattendue l’univers des plantes sacrées, générant une profonde transformation dans sa vision de la vie et ses priorités. Très sensibilisée lors de son voyage en Amazonie, elle est témoin du crime écologique qui s’y commet chaque jour et décide de tout faire pour y changer.
Le respect de la planète, des plantes et de tous les êtres vivants est le moteur de ce projet, nous savons qu’à travers cette histoire nous pouvons créer de l’empathie pour tourner le regard de la société sur ces problèmes qui sont réels et qui frappent notre monde.
Nous avons confiance dans le pouvoir du cinéma en tant qu’art socialement transformateur, nous ne voulons pas faire un film pour divertir, nous voulons recréer les gens et la société.